REVIEW – The Seven Deadly Sins S1

REVIEW – The Seven Deadly Sins S1

REVIEW – The Seven Deadly Sins S1

REVIEW – The Seven Deadly Sins S1 C'est bien ?

Si vous voulez voir un cochon qui parle, continuez votre lecture !

Elizabeth qui fait un gros câlin

Nanatsu no taizai, ou “Sept péchés capitaux” est un manga de Suzuki Nakaba. Sorti en pré-parution dans le Weekly Shōnen Magazine, il est par la suite édité par Kodansha depuis 2012, et chez Pika depuis 2014. C’est LE nouveau shōnen à succès : fantasy, aventure, romance, magie et de bons gros combats comme on les aime.

Le succès grandissant, ce dernier est adapté en animation par le studio A-1 Pictures (Sword Art Online, Black Butler, Blue Exorcist …) en 2014 et est diffusé à la télévision japonaise et en exclusivité sur Netflix dans le reste du monde. Donc quand j’avais lu le premier tome à la Fnac il y a quelques mois (sans avoir continué) et que j’ai trouvé la série dans le catalogue, j’ai juste foncé. D’autant plus que la saison 2 est en diffusion et devrait bientôt arriver hihihi ! Vous trouverez aussi les 4 épisodes spéciaux sur Netflix.

Seven Deadly Sins dispo sur Netflix

Le pitch

Dans le royaume de Liones en Britania, un groupe de chevaliers sacrés exceptionnels nommés les Seven Deadly Sins sont recherchés à travers le pays. Accusés de trahison 10 ans plus tôt, ils auraient assassiné sauvagement et cruellement  Zaratras le Grand Maître des chevaliers afin de renverser le royaume. Actuellement portés disparus à part un ou deux d’entre eux, leurs têtes sont toujours mises à prix mais beaucoup doutent encore de leur existence.

Petit souci, les chevaliers sacrés menacent de renverser le royaume et emprisonnent la famille royale, excepté Elizabeth la plus jeune des trois filles qui parvient à s’enfuir. Son but : retrouver les Seven Deadly Sins pour arrêter les chevaliers sacrés, eux seuls étant capable de les battre !

Les personnages

En gros il y a les Seven Deadly Sins (avec Elizabeth et Hawk) VS Les chevaliers. Bien sûr ce n’est pas si manichéen, et les personnages ne sont pas tous soit des gentils soit des méchants, cela évolue avec les épisodes. L’intrigue repose énormément sur ses acteurs, donc plus on en apprend sur eux, plus on comprend ce qui se passe et les enjeux.

Comme vous pouvez le deviner, chez les “Sins” chacun représente un péché et est associé à une créature/animal. On a Méliodas, le chef de la bande, surnommé le dragon de la colère, Diane le serpent de l’envie, Ban le renard de l’avarice, King l’ours de la paresse etc… Ils sont reconnaissables aux tatouages les représentant chacun.

Très différents les uns des autres, ils sont aussi attachants car conscients de leur péché (j’en dis pas plus huhuhu), de leur force et de leurs défauts. Ils ne sont pas tous humains, on peut notamment penser à Diane qui est une géante et possèdent des pouvoirs spécifiques. Ils ont beau être les plus forts, leur remise en question est nécessaire pour continuer à avancer.

Diane est prête à en découdre

Je vais inclure Elizabeth notre princesse chérie car (même si elle n’est pas un Sin) elle fait partie du groupe : c’est grâce à elle que la bande s’est reformée et a pris l’initiative de contrer la révolte. Ensuite vous trouvez les personnages rattachés au royaume de Liones : princesses, chevaliers, chevaliers sacrés (avec sa nouvelle génération), Grand Maître des chevaliers et puis quand même, les habitants. En personnages importants on note :

  • Gilthunder, chevalier sacré et fils de Zaratras, maniant l’épée et la foudre (la classe hein),

Gilthunder

  • Howzer, chevalier sacré et ami de Gilthunder, maniant l’épée et l’air/les tornades,
  • Guila, jeune chevalier devenant chevalier sacré, elle fait partie de la jeune génération créée par Hendrickson, elle a le pouvoir de l’explosion,
  • Dreyfus et Hendrickon, tous deux Grands Maîtres/commandants des chevaliers, menant la rébellion.

La réalisation

L’animation est de qualité, fluide, expressive et dynamique. Les personnages sont ressemblants au manga donc le character design est réussi. Les décors sont divers et intéressants même s’ils ne sont pas les plus extraordinaires mais le top reste quand même les combats. Bien mis en scène, ils ne durent pas des heures et sont relativement réalistes car impliquant des humains. Donc quand tu es blessé bah t’es blessé même si tu portes une armure. Après bien sûr il y a des pouvoirs magiques donc ça reste mis en scène et impressionnant, mais tout le monde n’est pas ultra fort et badass comme les héros.

Gilthunder et Méliodas

Cela ne supprime pas l’esprit chevaleresque qui d’ailleurs est bien mis en avant ! D’ailleurs, entre toutes les armures différentes de chevaliers et les noms de personnages qu’on peut trouver (Arthur, Vivian, la Britannia) on sent bien l’inspiration venant des contes de la Table Ronde.

Mon avis sur The Seven Deadly Sins S1

The Seven Deadly Sins c’est un super shōnen, avec des moments drôles, des combats, ou encore des scènes tristes (oui j’ai eu les larmes aux yeux mais j’ai pas pleuré parce que j’étais dans le métro) qui nous font encore plus aimer les héros. Il y a un peu de boobs aussi (on parle de manga quand même) et surtout un cochon qui parle et qui est trop chou. Avec une saison 1 réussie, la saison 2 ne peut qu’être aussi bonne ! De plus le concept des péchés capitaux est chouette, car utilisé de manière intelligente. Avec 24 épisodes plus 4 spéciaux, deux OAV et un film courant 2018, vous n’avez pas fini d’entendre parler de Seven Deadly Sins !

Quelle belle équipe

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