Chasser ou être chassé, telle est la question…
Après avoir séduit les joueurs PC, PUBG débarque sur Xbox One. Disponible depuis mars sur Steam, les consoleux peuvent enfin se frotter à l’un des grands succès de cette année 2017.
Le principe est simple, vous êtes parachuté sur une île avec 99 autres joueurs. Votre but, survivre. En solo, duo, ou en équipe de quatre, vous devrez vous équiper au plus vite pour affronter vos concurrents tout en ralliant les zones de jeu hors desquelles vous succomberez lentement d’un nuage de gaz mortel.
C’est à ce moment-là que vous vous dites : “Mais je n’ai qu’une chance sur quatre vingt dix-neuf de gagner, à quoi bon ?”. Et bien chers amis, vous serez happés par l’ambiance de PUBG. Chaque pas, chaque porte que l’on ouvre est une goutte de sueur sur le front. Il faut garder l’œil ouvert, et tendre l’oreille en permanence. La mauvaise surprise n’est jamais loin. Que vous soyez plutôt FPS ou TPS, campeur ou fonceur, ce jeu “Battle Royale” saura vous faire frissonner. Après 200h de jeu on continue de progresser, et de prendre du plaisir. Mention spéciale pour le mode “squad” en équipe de quatre où la communication et la prise d’information seront primordiales pour la réussite du groupe. Et que dire du sentiment jubilatoire que l’on ressent lorsque l’on gagne une partie…
La recette fonctionne, et les chiffres le montrent. PUBG a dépassé les vingt millions de copies vendues en six mois sur PC alors qu’il est encore en early access. Fun, à la durée de vie potentiellement illimitée et au prix raisonnable de 25/30€, il continuera à coup sûr de séduire les joueurs et de s’imposer en tant que figure de proue du “last man standing”.
Chers PCistes, BlueHole inc. ne vous oublie pas pour autant. Une nouvelle mise à jour arrive. Au menu, de nouvelles armes et une map désertique que vous pouvez déjà visiter sur le serveur test du jeu (accessible sur Steam).
Alors, prêt pour le grand frisson ?