Voici mon TOP 10 des FPS tous genres, du moins ceux qui ont marqué mon expérience vidéo-ludique à la première personne.
#10 – Duke Nukem 3D
Autrefois jeune innocent, ma première vraie expérience FPS s’est déroulée sur un Pentium 386, en lançant le jeu via MS-DOS. Old but Gold, le jeu fait toujours son petit effet aujourd’hui.
#9 – Call of Duty: Modern Warfare
Durant la grande mode des jeux de guerre modernes, CoD MW premier du nom (CoD 4) offrait un gameplay basique et efficace qui “sonne bien dans mes cordes”. Et en bonus, un scénario bien ficelé avec des scènes marquantes qui ont construit des souvenirs qui me font encore monter l’adrénaline.
#8 – Half-Life 1
Premier FPS à introduire un aspect narratif très développé, Half-Life sorti en 1998 a posé les grandes règles du genre. C’est aussi le premier jeu qui m’a fait découvrir le monde des “Mods” en tous genres, et surtout le plus connu d’entre eux : Counter-Strike.
#7 – La série des Serious Sam
Véritable défouloir développé par une équipe atteinte de mégalomanie, la série des Serious Sam occupe la place du destressant post-scolarité et a su assurer son rôle avec brio. Durant des années. S’il vous plaît.
#6 – Unreal Tournament 2004
En explorant le genre des FPS multi-joueurs à l’ère de l’ADSL Wanadoo, Unreal Tournament a retenu mon attention et m’a diverti durant mes jeunes années, mais mon esprit était ailleurs, la concurrence du genre était rude. Les 5 années suivantes, les bons FPS multi-joueurs commençaient à se faire rares et le genre peinait à se renouveler, jusqu’à Unreal Tourmanent 2004. LE jeu qui, à mon sens, a tiré le meilleur du genre… mais je manquais de bons joueurs, pour bien en profiter, autour de moi. C’était aussi la mode de World of Warcraft alors…
#5 – Dishonored
L’histoire de Corvo et l’ambiance du jeu, à la fois sérieuse et cartoonesque, ne m’ont pas laissé de marbre. L’annonce récente de Dishonored 2 me rappelle la liberté d’action que j’ai eu avec le premier opus, un jeu d’infiltration/assassinat, yeux rivés dans le regard de l’héros agile et pernicieux. Sensation de puissance et fun garantis, Dishonored ne laisse personne indifférent; j’étais conquis.
#4 – Bioshock Infinite
Les FPS solo ont souvent attiré ma curiosité, mais peu ont retenu mon attention. Je fais partie des gens qui se lassent généralement lorsqu’un jeu propose une expérience répétitive, qu’il a du mal à se renouveler, ou qu’il propose un challenge inintéressant. Mais que se passe-t’il lorsqu’un jeu me met au milieu d’une intrigue prenante, d’une jouabilité exemplaire et d’un cachet visuel qui m’arrête naturellement pour l’admirer ? J’en reste baba et j’en avoue tout mon amour à mon entourage, et en quelques lignes ici-même.
#3 – Counter-Strike
Simple mod de Half-Life 1 à l’origine, Counter Strike a séduit le public durant les années 2000 et est rapidement devenu le FPS multi-joueurs de référence. Des matchs rapides, des règles simples, une gestion d’équipe et de budget… Pris dans la tornade CS depuis les premières beta, j’ai vite trouvé satisfaction et un plaisir de jeu particulier, même dans la galère matérielle des LAN improvisées chez des amis ou des tournois en équipe dans les salles de Cyber (XS Arena à l’époque, aujourd’hui devenus des Milk).
#2 – Deus Ex
Perle de la narration et de l’immersion dans un univers dystopique et cyberpunk, Deus Ex avait tous les arguments pour marquer de son empreinte l’histoire des FPS, hormis le fait de faire chauffer nos cartes graphiques de l’époque, en 2000. Après avoir entendu mon entourage en parler, je m’étais lancé dans cette folle aventure qui a effacé de ma mémoire les jeux semblables tels que System Shock ou Omikron: The Nomad Soul. Haletant du début à la fin, techniquement complexe et suffisamment fourni pour une vingtaine d’heures de jeu, le premier FPS du genre à proposer une progression libre a enrichi mon imaginaire cyberpunk durant mon adolescence, un genre vidéo-ludique que j’affectionne beaucoup.
#1 – Quake III Arena
Nerveux. Excessif. Technique. 3 mots pour décrire le bijou le mieux taillé de l’histoire des FPS multi-joueurs. Sorti en 1999 et encore joué par des milliers de joueurs de nos jours (via QuakeLive), Quake III Arena est LE jeu qui fait office de défouloir où il est nécessaire de garder toute sa dextérité et son calme pour surpasser ses adversaires humains. Figurant pour moi comme le meilleur jeu des joutes virtuelles, songer à la technicité à appliquer pour se mouvoir et exploser les autres joueurs dans une ambiance gothico-cyberpunk (le néologisme a du bon), Quake III Arena me fait encore vibrer de l’intérieur à l’idée de participer à des parties filant à 300 à l’heure.
Bien que DOOM ait récemment réussi à me faire penser que Quake III Arena allait avoir un descendant digne de ce nom avant de me décevoir lamentablement sur le multi-joueurs, force est de croire que le roi du genre a encore de beaux jours devant lui.